Pages

dimanche 31 janvier 2010

LE LUNDI C'EST IMPRO


Y Dor koué ?

Ayé, les regrets essayent de me courir après. Si je pouvais reprendre mes cartes je veillerais à mieux les redistribuer. On ne m’a refilé que des 7, même pas une dame ou un roi, voire un valet. Ne parlons pas des As, jusqu’aujourd’hui je n’arrête pas d’en réclamer. On m’a dit de faire ci, de faire ça pour conjurer le sortilège, comme si de ma vie, le malheur en avait fait le siège. On m’a dit de marcher avec un trèfle à 4 feuilles, de ne pas hésiter à le mettre dans mon portefeuille. Ces inepties ne m’ont convaincu que d’une chose, je ne peux compter que sur moi pour voir la vie en rose. Pourtant hier, Miss CDI, c’est comme ça que l’appelle sa commère, et bien Miss CDI a su me démontrer du contraire. D’une simple proposition, d’un simple geste dont elle peut être fière. J’ai bien compris que j’ai eu raison de refuser ces grigris vaudous. Je me demande encore comment elle a pu me ramener dans mon trou ? Un trou pas vraiment perdu mais je peine à le faire valoir, même si je n’arrête pas de dire que je ne suis pas aussi loin qu’on peut le croire. Malgré la distance, en tout cas, je ferai tout pour retrouver mes amis du lundi. Le lundi, une soirée spéciale que j’aurai voulue interminable à l’infini, mais il est bon de se quitter surtout quand on a bien bien rit. Alors, totalement j’envoie bouler tous ces regrets qui tentent de me rattraper, car des potes comme ça, je ne peux être que ravi de les avoir à mes cotés. Pas d’improvisation possible sans leur soutien, leurs encouragements. Tous les rêves sont permis en leur présence et je ne vous parle pas d’un pacte de sang. Je suis fan de leur état d’esprit, de leur état dès qu’ils sont en plein délire. Ils s’amusent et m’amusent à en mourir de rire. Tiens demain c’est lundi alors assez perdu de temps, je vais vite me coucher pour que demain arrive très rapidement. Mais avant de conclure, encore merci à Clara et Sophie. 2 femmes, avec ça très jolie, que je me ravis de compter parmi mes amies. A très bientôt dans la patinoire, sans glace ni protection, juste avec ce qui fait notre force… l’envie et la motivation…

vendredi 8 janvier 2010

JE VEUX UNE NASSIMAH


Y Dor koué ?

Ayé, un nouveau jour, une nouvelle année débute sur la planète Terre, et je me demande qui entendra un jour mes prières. J’ai fais le vœu de voir tous mes vêtements repassés en rentrant chez moi, mais je me rends compte que ce n’est pas encore pour cette fois. Miguel et Rosa ne travaillent pas pour moi bien malheureusement. Quand je vois CAPWEL et FORRESTER profiter de leur formidable talent, je me dis que ce serait bien qu’ils viennent chez moi juste une journée, gratuitement. Oui, bon j’arrête de rêver, c’est vrai qu’on ne les a jamais vu repasser ces deux lèche culs. Ils ne font qu’ouvrir des portes ou répondre au téléphone pour nous faire croire qu’ils suent. Avec leur complet de cuisine rose et blanc jamais entaché de la moindre sauce, ils font semblant de travailler alors qu’ils ne font que multiplier les poses. Vraiment pas la peine qu’ils déboulent chez moi se gratter les fesses. Moi il me faut quelqu’un de sûr, bosseur et pas adepte de la paresse, pour que quand je rentre tout soit fait comme par magie. Ce serait tip top de ne plus avoir à s’occuper de sa lingerie, super tip top de ne plus avoir à s’occuper de cette connerie. Quand je pense que Nassimah a osé laver ses culottes bateau devant la caméra… Peut-être que si je l’interpelle elle pourrait aussi se charger de mes gros maillots 5 doigts. Avoir une Nassimah chez soit c’est ça qu’il faut développer dorénavant. Fini les grosses corvées qu’on n’a pas dut tout envie de faire parce que trop chiant. On claque des doigts et Nassimah débarque, bassine d’eau et savon de Marseille à la main, correctement sapée et disposée à satisfaire tous nos désirs ménagers du quotidien. En guise de salaire je lui verserai un petit quelque chose pour pas qu’elle se sente exploitée. Car c’est bien beau de l’avoir la Nassimah, encore faut il qu’elle puisse se nourrir et se loger. Et c’est là que ça fait mal quand on commence à parler fiche de paie. Parce que une Nassimah ça n’est pas possible pour tous les portes-monnaies. Du coup je vais me contenter d’accumuler la masse de vêtement à repasser. Quand je pourrai je m’offrirai ma Nassimah, une vraie, une qui sache laver sa culotte en me regardant avec la plus grande des fiertés…