Y dor koué ?
Ayé, c’est le début de la semaine et déjà la fatigue du vendredi se fait sentir. Aïe, ça fait mal seulement à l’idée de penser qu’il va falloir tenir encore. Bin oui, faut tenir en s’imaginant prendre du bon temps dans une île paradisiaque. La Réunion pourrait convenir, mais là, très franchement, ce n’est pas vraiment là que je pensais « gratte ma fesse ».
Dormir, dormir à n’en plus finir… Ouai bon, en même temps, faut pas se laisser mourir aussi !!
Le travail c’est la santé. Moi ma santé me travaille tellement que j’ai la conviction que je serai mieux chez moi à rien foutre. Bien entendu, impossible de satisfaire ce désir car l’essentiel vient à manquer très rapidement. Les mapésa, voula, peseta, tchok tchok… ou autrement dit l’argent. Ah ça oui que ça manque ! Ça manque à un point que je n’ai pas réellement le choix que de casser mon sommeil de gros dormeur pour aller tafé. Le café ne suffit même plus à m’enlever la brume matinale de la tête. Mais qu’ai je fais pour mériter d’être aussi feignasse.
Je sais que ça ne se fait pas, mais si vous vous sentez l’âme généreuse, faites moi un don via le blog. N’hésitez pas, paraît que Dieu vous le rendra. Parce que moi je veux bien qu’il me rende, Dieu, mais j’ai rien à donner.
Sinon ce n’est pas bien grave. J’ai le mérite de vivre et d’avoir de quoi subvenir à mes besoins presque primaires. Alors suffit de me plaindre. J’ai la grande satisfaction de pouvoir me dire qu’au final je reste bienheureux. Car la différence entre mon statut de travailleur et celui qui n’a pas encore cette chance, c’est que moi je peux partir en congé, lui pas… et l’on attend tellement ce moment que c’est pas possible de pas l’apprécier quand il pointe son nez. Ah c’est toi Congé, comment va ? Ça fait longtemps que je t’attends. Bon on s’en va, y en a marre de rester là. Allez salut les gars, à la prochaine…
Le problème c’est que Congé c’est quelqu’un de très demandé. Aussitôt que tu le prends, très vite il faut le ramener à ton collègue qui en a besoin aussi. Difficile de le garder pour toujours avec soi. En plus c’est un gros salaud Congé. Il se tape tout le monde. Peu importe le sexe et l'âge, c'est pas un problème pour lui. Le soucis avec lui c'est que dès que tu commence à l’apprécier c’est là qu’il te dit : c’est fini entre nous, ramène moi stp…
Allez casse toi sale Congé, espèce d’infidèle !!
Ayé, c’est le début de la semaine et déjà la fatigue du vendredi se fait sentir. Aïe, ça fait mal seulement à l’idée de penser qu’il va falloir tenir encore. Bin oui, faut tenir en s’imaginant prendre du bon temps dans une île paradisiaque. La Réunion pourrait convenir, mais là, très franchement, ce n’est pas vraiment là que je pensais « gratte ma fesse ».
Dormir, dormir à n’en plus finir… Ouai bon, en même temps, faut pas se laisser mourir aussi !!
Le travail c’est la santé. Moi ma santé me travaille tellement que j’ai la conviction que je serai mieux chez moi à rien foutre. Bien entendu, impossible de satisfaire ce désir car l’essentiel vient à manquer très rapidement. Les mapésa, voula, peseta, tchok tchok… ou autrement dit l’argent. Ah ça oui que ça manque ! Ça manque à un point que je n’ai pas réellement le choix que de casser mon sommeil de gros dormeur pour aller tafé. Le café ne suffit même plus à m’enlever la brume matinale de la tête. Mais qu’ai je fais pour mériter d’être aussi feignasse.
Je sais que ça ne se fait pas, mais si vous vous sentez l’âme généreuse, faites moi un don via le blog. N’hésitez pas, paraît que Dieu vous le rendra. Parce que moi je veux bien qu’il me rende, Dieu, mais j’ai rien à donner.
Sinon ce n’est pas bien grave. J’ai le mérite de vivre et d’avoir de quoi subvenir à mes besoins presque primaires. Alors suffit de me plaindre. J’ai la grande satisfaction de pouvoir me dire qu’au final je reste bienheureux. Car la différence entre mon statut de travailleur et celui qui n’a pas encore cette chance, c’est que moi je peux partir en congé, lui pas… et l’on attend tellement ce moment que c’est pas possible de pas l’apprécier quand il pointe son nez. Ah c’est toi Congé, comment va ? Ça fait longtemps que je t’attends. Bon on s’en va, y en a marre de rester là. Allez salut les gars, à la prochaine…
Le problème c’est que Congé c’est quelqu’un de très demandé. Aussitôt que tu le prends, très vite il faut le ramener à ton collègue qui en a besoin aussi. Difficile de le garder pour toujours avec soi. En plus c’est un gros salaud Congé. Il se tape tout le monde. Peu importe le sexe et l'âge, c'est pas un problème pour lui. Le soucis avec lui c'est que dès que tu commence à l’apprécier c’est là qu’il te dit : c’est fini entre nous, ramène moi stp…
Allez casse toi sale Congé, espèce d’infidèle !!
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